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L'universDeJoella

18 juillet 2005

Un ange a vécu ...

 

Un ange est venu,

Un ange a vécu,

Peu de temps,

Dans le ventre

De sa maman ...

Tellement peu,

Tellement rien,

Je ne sens plus rien ...

Tellement dur,

Tellement injuste,

C'est un bout de moi qui est parti ...

Avec le temps, on croit que je m'y fais,

Avec le temps je ne sais toujours pas

A quel moment je l'oublierais,

Quand est-ce que je n'y penserai plus ...

Ca paraît si facile lorsqu'on me regarde rire,

Mais vous vous y méprenez,

Mon cœur est toujours en train de saigner,

Mes larmes le soir en train de couler ...

Pas une journée sans y penser,

Et dans quelques mois la difficulté va se multiplier,

Bébé n'est plus dans mon ventre

Pourkoi quand je souri tou le monde est la, é quan je pleure...

 

 

Mais le temps passe et il aurait dû être avec moi

Avec celle, qui tout le jour lui disait je t'aime,

Il n'était pas encore formé

Mais Dieu seul sait que je l'aimais déjà

Alors pourquoi m'a-t-on enlevé mon Bébé ?

Même avec du recul c'est dur,

Je ne m'y fais pas,

Je vis avec ça,

Je ne me ferais pas pardonner,

Je sais que je n'ai pas commis de faute,

Malgré mes excuses prononcées

Ma fausse-couche je ne l'ai pas demandée,

Ce n'est pas de ma faute ce qui est arrivé,

Tout ce que je peux affirmer

C'est qu'à jamais je vais l'aimer ...

Jojo.

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15 juillet 2005

Je te donnerais fidélité, amour et tendresse ...

Je te donnerais fidélité, amour et tendresse

Complicité, baisers et caresses

Dans mes bras tu pourras te blottir

Saches que tu peux me parler, tu peux tout me dire

Je suis là pour t'écouter

Mais aussi pour te réconforter

Je t'aime mon amour pour tout le bonheur que tu me donnes

Ta tendresse me berce comme le vent berce les feuilles à l'automne

Depuis quelques temps nous attendons un bébé, ce petit être magnifique

Le jour où il viendra au monde nous serons heureux, ça sera magique

Tes yeux me caressent, ils me font frissonner

Nos baisers sont ceux de l'éternité

Tu es l'homme de ma vie

Je t'aime à l'infini.

Ta tit'Jojo.

 

14 juillet 2005

Prends et puise ta force en toi ...La dépression, quel fléau...


Qu'attendais-tu donc à jouer ce rôle ?
Au juste, qui as-tu leurré ? Qui as-tu rallié ?
Et oui, triste bilan ; les cons, les paumés,
les comme toi, les pas-vrais, les complexés !
Etait-ce cela que tu voulais ?
Non, et tu le sais.
En voulant trop te prémunir, trop te ménager,
tu vis dans l'angoisse journalière
que chaque jour apporte une catastrophe.

Qu'y changera la révolte contre celui que tu rends responsable !
Une échéance supplémentaire tout au plus.
Tu sais au fond de toi-même que ta vie, c'est le flirt avec la mort.
Et ça n'est pas pour te frustrer ni pour te dresser
que ton amante te recommande la prudence
en t'engueulant lorsque tu ne dors pas,
tu ne manges pas, que tu te joues de ta santé.

Ca n'est pas pour te blesser ni par égoïsme qu'il te conseille de te ranger.
Mais tu l'as compris. Il sait les désirs qui t'animent.
Il connaît ton goût pour les risques et il a peur,
pas seulement de te perdre, mais il croit te sauver d'un précipice
que tu regardes de trop près , connaissant par ailleurs ton vertige,
c'est par amour qu'il te retient et toi tu joues avec ses angoisses,
parce que maintenant tu as suffisamment de preuves de sa fidélité.
Oh, ne crois pas qu'il t'ait attachée par faiblesse
ou par crainte de l'aventure.
Mais non, il t'aime et il t'a choisi.

Mais .....

Bon, il n'est pas question de confession ni de repentir,
parce que toi aussi tu l'aimes.
Même si tu le déchires, même si tu le fais souffrir,
il accepte parce que tu es au moins toi-même.
Même si ça peut lui paraître le beau rôle,
il ne sait pas que toi aussi tu souffres et que le déchirer te fait mal.
En dépit de cette réalité il tient bon, il s'accroche.
Je veux t'épargner toute platitude en te répétant
ce qui a été mille fois répété par le monde.
Tu es beau, beau d'amour, beau de tendresse, beau de souffrances.
Tu es moi, je suis toi.
Je t'aime et je me donne comme je suis,
même si en ce moment je suis une contrainte et non un cadeau.
A travers tes yeux, ton regard, je suis, j'existe,
je suis important, je suis ton pain et tu me nourris ; d'amour vrai.

Tu respectais la fille pénible, odieuse, horrible et égoïste.
Tu te donnais tout entière sans restriction,
pas par faiblesse je le répète ni par gratuité.
Parce qu'un jour d'hiver
nous avons été les amants les plus puissants du monde, les plus fous.
Nous avons tout été et nous ne sommes qu'un esprit avec ses divergences
des multiples facettes de nos qualités.
J'ai envie de te dire tout ça ; mais pas avec des mots !
Les mots, je les garde entre moi et moi
pour mieux me donner, pour mieux te faire jouir.
Je veux par mes seules mains, mon seul regard
te faire rayonner, te renaître à ma vie.
Je ne t'ai plus rien donné depuis si longtemps.
A force de t'imposer mon angoisse ,
j'ai fini par mourir à petit feu !
Mourir, mourir, mourir, mourir et hop, fini !
Ca suffit comme ça.

Je vous le dis, j'avais un compagnon merveilleux,
il était aux petits soins, il s'inquiètait, se faisait du souci et m'écoutait.
Mais lui il avait intérêt à s'écraser.
Je vous le dis, je l'ai écrasé ! Il me faisait tout ce que je lui demandais.
Je ne le faisais pas marcher à la baguette, mais tout de même
Seule l'autorité de ma voix suffisait.
Que j'étais une femme puissante !
Vous rendez-vous compte,
moi réussir à faire marcher au doigt et à l'oeil
et à mettre à mes pieds un homme aux qualités exceptionnelles,
envié de bien des filles, apprécié de bien des hommes.
Ah, mais c'est que j'étais quelqu'un, moi !
Moi qui avais tant de complexes d'infériorité,
j'avais réussi à les faire encaisser par celui qui m'était supérieur et qui l'est encore.
Quelle gloire !
Il était ma victime, j'étais son bourreau mental.
Je fuyais en me cachant derrière le pc
et quand le manque de communication me devenait insupportable,
je le remetais en cause, lui, et je le culpabilisais, lui !
Comme c'était aisé, comme c'était facile,
je me vautrais dans un dialogue de complaisance
et je le culpabilisais avec tellement de sincérité
que je finissais par me convaincre qu'il était seul coupable
des maux que je m'étaient créés.
Je lui faisais passer des nuits blanches,
il n'avait rien à dire, il avait à m'écouter, il avait à accepter sans broncher.
Comme ça ne suffisait pas,
il fallait trouver encore de quoi frapper,
de quoi faire mal en l'insécurisant.

Belle réalisation : le rendre dépendant en étant indispensable,
et une fois lié, lui asséner un coup tout juste assez fort
pour le rendre impuissant à se révolter.
Et puis plus tard, déplorer son manque de dynamisme et de révolte.
Ne rien lui laisser faire
pour pouvoir ensuite lui reprocher son manque d'activité,
son absence de participation.
C'est diabolique, ignoble et sadique. C'est tout à la fois.

Tu frisais le mépris, tu réclamais du sang sous formes de larmes.
Mais tu n'as pas eu de larmes.
Tu t'étais dirigé vers la porte, tes cartons remplis, tu es sorti,
Ces larmes que tu réclamais, tu les as eues.
Mais tu te garde bien de les montrer.
Elles coulent en toi, elles inondent ta vie,
elles empoisonnent ton sourire et te fige.
Elles tuent ta vitalité.

J'en ai fait un malheureux.

Je vais me noyer dans le silence,
je me donne l'illusion d'être forte.
Ca me fait supporter pour quelque temps la tristesse de ma vie.
Alors pour quelques jours et quelques nuits j'oublie,
J'oublie la raison de ma fuite, mais suis satisfaite,
et je me contente de ma vie.
Mais au petit matin, le ventre fait mal.
Je réalise que j'ai fais mal,
que le mal est fait,
et que peut-être,
plus jamais je te retrouverais.
La mort frôle mon esprit,
mais je dois être forte,
je dois tenir, tenir pour lui, pour mon enfant.
Je dois redevenir MOI.
Peut-être qu'un jour, nous serons heureux ensemble ...

Joëlla.

14 juillet 2005

Paroles d'une chanson que Philou aime particulièrement ...

Cradle_of_Filth_midian

La lune, elle pend comme un cruel portrait
Les doux vents chuchotent les ordres des arbres
Alors que cette tragédie commence avec un coeur de verre brisé
Et le Cauchemar de Minuit (1) piétine les rêves
Mais continue, pas de larmes s'il te plaît
La peur et la douleur accompagne peut-être la Mort
Mais c'est le désir qui guide c'est sûr
La lune, elle pend comme un cruel portrait
Les doux vents chuchotent les ordres des arbres
Alors que cette tragédie commence avec un coeur de verre brisé Comme nous le verrons….
Elle était une divine créature
Qui embrassait dans de froids miroirs
Une Reine des Neiges
De loin sans pareil
Des lèvres symétriques
La cherchaient partout
De sombres yeux liquoreux
Un cauchemar Arabe...
Elle brillait sur les aquarelles
De l'étang de ma vie comme une perle
Jusqu'à ce que ceux qui ne pouvaient pas l'avoir
La libèrent de ce Monde
Ce soir fatidique quand...
Les arbres empestaient le couché du soleil et le camphre
Leurs lanternes pourchassaient les fantômes et lançaient
Un regard curieux, comme le froid qu'ils jetaient
Sur mon amour cueillant la tristesse à la lumière de la lune
Mettant la raison en fuite
Ou la mettant à mort à leur façon
Ils se faufilaient à travers les bois
Hypnotisés
Par la lée de taffetas
De Ses hanches qui dominaient
Tous ceux qui contemplaient
Exceptée une brume qui s'élevait
(Une mortelle bénédiction à cacher)
Son fantôme dans le brouillard
Ils violèrent...
(Cinq hommes de Dieu)
... Son fantôme dans le brouillard
cradle_of_filth_cruelty_and_the_beast
L'aube La découvrit ici
Sous le regard fixe du Cèdre
Sa robe de soie déchirée, Ses cheveux de jais
Enfuie en robe Sa beauté dénudée
Fut fixée avec froideur, je La savais perdue
J'ai pleuré jusqu'à ce que les larmes se rechangent en prière

Elle me fit serment dans un sang parfumé
"Nous ne nous séparerons jamais
De peur que les Cieux jaloux ne nous volent notre coeur"
Après cela je criai :
"Reviens vers Moi
Je suis né amoureux de toi
Alors pourquoi le destin se dresse-t-il entre nous ? "
Et tandis que je noyais Ses douces courbes
Avec des rêves non-dits et d'ultimes paroles
J'aperçus une lueur marchant vers la terre
La clé du clocher de l'Eglise...
Le village la pleurait
Car Elle fut une sorcière
Que Ses Hommes avaient ardemment désiré juger
Et je m'inclinai devant le Christ cherchant des signes coupables
Mon âme tourmentée sur la glace
Une Reine des Neiges
De loin sans pareil
Ses lèvres harmonisées avec symétrie
La cherchaient partout
Des yeux trappistine (3)
Un cauchemar Arabe...
Elle était possédée par Erzulie
D'une blanche peau laiteuse
Mon Yin de porcelaine
Un gracieux Ange de Péché
Et ainsi pour Elle...
La brise empestait le couché du soleil et le camphre
Ma lanterne pourchassait Son fantôme et enflamma
Leur Chapelle et tout enfermés dans une douleur
Le meilleur réservé pour le jugement que leur bible expliquait
Mettant la raison en fuite
Ou la jetant à l'impudente flamme
Je m'élançais des cris
Hypnotisé
Par la lée de taffetas
De Ses hanches qui dominaient
Tous ceux qui étaient à distance
Exceptée une brume qui s'élève
Une dernière bénédiction à cacher
Son fantôme dans le brouillard
Et j'étreignis
Où les amoureux pourrissent...
Son fantôme dans le brouillard

Auteur : Cradle of Filth

Album : Midian

11 juillet 2005

Un cœur brisé ...

 

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Un cœur brisé n'a pas été brisé seulement par la déception et la souffrance de ne pas avoir eu de retour amoureux à l'amour qu'il a ressenti à l'autre.

La rupture n'a pas été seulement brutale à cause de la mise à mort de la relation fantasmagorique devenue réalité.

Un cœur brisé a surtout été brisé par la destruction de la croyance en l'amour.

Une relation amoureuse idéalisée dans notre for intérieur mais pourtant réelle créé un univers tellement parfait que l'on ne voit aucune raison pourquoi elle ne continuerait pas.

Car la perfection doit être éternelle.

Qu'espérer de mieux que la perfection ?

Rien n’est mieux !

Alors si elle ne perdure pas cela prouve qu'elle était illusoire.

On ne croit plus en l'amour.

Notre cœur se brise en même temps que la mort du mythe de l'amour.

 

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Ecrit par Philippe.

Prière de ne pas copier ses écrits SVP, respectez-le, merci.

 

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4 juillet 2005

T’aimer me fait souffrir ...

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Tout vrai regard est un désir

T’aimer me fait souffrir

Un simple regard et tu sais ce que je pense
Alors que moi je ne sais pas,
j’ai bau les regarder mais tes yeux me captivent
J’aimerais tant t’avouer ce que je peine à ton cacher
mais pour cela il faut que tu laisse ton passé où il est
Pourquoi ce n’est pas plus simple?

j'en ai mard des titres
J’ai tant de chose à te dire
T’aimer me fait tant souffrir. .
mais pourtant tu es là sans rien dire
Je me confis à toi,
je te sors ce qui reste dans mon coffre,
ce coffre fort qui n’a pour simple nom
un "COEUR"!
Je garde juste une chose!
Mon amour pour toi!

 

Ecrit par Philippe.

Prière de ne pas copier ses écrits SVP, respectez-le, merci.

 

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3 juillet 2005

Tu es ...

 

Tu es

homme

Tel un phénix, tu dégages une aura de bonheur,
Où que tu sois, quoi que tu fasses, tu es présent en moi,
Lorsque tu déploies tes ailes et m’éclaire de tes couleurs,
J’éprouve une joie sans pareil quand je te vois.

Tel un soleil, tu brûles tout autour de toi,
Rien ne te résiste, la glace devient vapeur,
Tes yeux étincelant me laisse sans voix,
Je me laisse doucement envahir par ta chaleur.

Tel une musique, tu es les battements de mon cœur,
Je me laisser bercer par tes bras, si doux, si fort à la fois,
Tes notes montent en force et retombent en douceur,
Ton rythme devient le mien, tu prends possession de moi.

Tel un homme, ta puissance bouscule toutes les lois,
Ton charme subtil et irrésistible ne me fait pas peur,
On se demande comment la nature a put créer une seule fois,
La perfection même et ainsi ma plus belle faveur.

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Ecrit par Philippe.

Prière de ne pas copier ses écrits SVP, respectez-le, merci.

 

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27 juin 2005

Des heures, des jours, des nuits ...

Des heures, des jours, des nuits,
impatiemment,
depuis déjà si longtemps,
je t'attends ...

Je me sens seule et perdue sans toi,
je survis à chaque moment pour toi,
sans ta puissance,
ma vie n'a plus de sens ...

Pour toi,
mon coeur est en effervescence,
mais aujourd'hui,
le froid a envahi ma vie,
je suis trop loin de tes bras,
loin de ta vie ...

Malgré nos deux cours amoureusement réunies,
cette longue attente,
cette distance nous punit,
les larmes gagnent mes yeux,


je voudrais crier,
crier,
combien c'est douloureux ...

Jojo.

27 juin 2005

Un petit être de chair et de sang ...

 

Il y a longtemps déjà, je rêvais encore de toi
Toi qui hantais mes rêves chaque nuit
Que tu étais enfin en moi ...

Aujourd'hui je viens d'apprendre
Que ce n'était plus un rêve mais aussi une réalité
Des années que tu m'as fait attendre
Mais maintenant tu es là mon bébé ...

Un petit être de chair et de sang
Grandit dans mon ventre
Ce petit être à qui sans cesse je pense
Qui vite véhiculera une joie immense ...
Bientôt il fera la joie des petits comme des grands
Mais surtout celle de sa maman
Procurera à tous un bonheur intense
De par sa beauté et son innocence
Mais surtout parce que ce sera un petit bout
De deux personnes qui s’aimaient plus que tout ...

Le médecin a dit que ma grossesse était bien partie
Que j'étais enceinte de trois semaines plus ou moins
J’ai confiance tout va bien aller
Accroche-toi, surtout n'aie pas peur mon bébé ...

Je t’aime déjà
Même si tu n’es pas encore là
Mais le jour viendra
Où je te prendrai enfin dans mes bras ...

Je suis là, je t’attends
Mon bébé
Mon ange à moi
Rendez-vous dans quelques mois pour un pur bonheur ...

Maman.

27 juin 2005

T’aimer me fait souffrir ...

 

T’aimer me fait souffrir

Un simple regard et tu sais ce que je pense
Alors que moi je ne sais pas,
j’ai beau les regarder mais tes yeux me captivent
J’aimerais tant t’avouer ce que je peine à te cacher
mais pour cela il faut que tu laisse ton passé où il est

Pourquoi ce n’est pas plus simple ?
J’ai tant de chose à te dire
T’aimer me fait tant souffrir. . .
mais pourtant tu es là sans rien dire

3__30_

Je me confie à toi,
je te sors ce qui reste dans mon coffre,
ce coffre fort qui n’a pour simple nom
un "COEUR"!
Je garde juste une chose !
Mon amour pour toi !

 

Ecrit par Philippe.

Prière de ne pas copier ses écrits SVP, respectez-le, merci.

 

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