L'universDeJoella

Mon amour chéri,

Difficile… difficile d’écrire comment je suis.

Que se passe-t-il dans tout mon organisme quand je suis amoureuse ?

Pour moi, amour = douceur, tendresse, mots doux, caresses, être prévenant, être poli, servir… Aimer, quoi…
Quand je suis avec mon bien-aimé (c’est-à-dire toi), je ressens des envies très très fortes de cajoler, d’embrasser, de reprendre dans les bras, de tenir la main…

Je crois que je peux dire que, quand j’aime, j’aime « à fond », pas à moitié… Quand j’aime, ce sont tous mes sens qui sont en action.
L’ouïe, parce que l’écoute est importante. Une grande écoute permet d’apprendre beaucoup de choses sur « l’autre ».
La vue : parce que tu es beau, et que je le découvre à chaque instant… Surtout tes yeux, mon amour chéri… très expressifs. On dit que les yeux sont le reflet de l’âme… Ton âme est belle. Je le vois. Je le ressens.
L’odorat : parce que tu sens bon. Ton odeur a quelque chose de particulier qui m’attire. Je vais t’avouer : quand je suis au bureau fort tôt (comme ce matin), il m’arrive d’entrer dans ton bureau et de humer ton gilet (qui pend à ton siège). Cela peut paraître « bestial », mais je ne crois que cela le soit. Tout dépend des sentiments.
Le goût : je ne vais pas trop m’attarder sur ce 4e sens, mais… ben oui, tu as bon goût. Je te mangerai, même ;-)
Le toucher : tu as une peau si douce, mon amour chéri, que je ne me lasse pas de la toucher. Tes petits bras, ton joli petit cou…

Tu vas certainement te dire : mais il n’y a que le « physique », dans tout ça ?
Pas le moins du monde. Il est vrai que le « physique » a énormément d’importance pour moi. Je n’arrive pas à concevoir l’amour sans avoir de relations physiques. Et, inversement, je ne peux pas concevoir des relations « physiques » sans amour, sans sentiment. Je suis très « sensuelle », c’est vrai. Suis-je « sexuelle » ? Ce n’est pas à moi à répondre à ce genre de question.
Tu sais, mon amour chéri, je ne recherche pas des « exploits sexuels » avec toi. Certainement pas ! Le seul fait de pouvoir être en ta compagnie, te parler, te regarder, te sentir, te toucher me suffit.
Faire l’amour avec toi ? Oh oui, j’en meurs d’envie. Mais je me mets tellement la barre très haut, que si cela arrive un jour, mes émotions me « trahiront ».

La vie de couple. Avec ce que tu m’as déjà dit à ce sujet, j’en arrive à croire que c’est toi qui as raison. On peut se sentir seul en couple, et ne jamais se sentir solitaire même si on vit seul. Cette idée fait son petit bonhomme de chemin dans ma tête, mais il me faudra un peu de temps.
C’est vrai que je désire très fort vivre avec toi, mais tu me fais bien comprendre que tout est mieux comme maintenant. Et je suis d’accord avec toi.

Tu sais, petit homme de mes rêves, il y a eu ces moments que jamais je n’oublierai : cette journée à la côte belge, ces petits restos que tu me faisais le plaisir d’accepter, et tout le reste. C’est à ces moments-là que j’ai appris à mieux te connaître. C’est à ces moments-là que tu t’es incrusté dans mon cœur, pour ne plus jamais en sortir.

Je suis une grande sentimentale, c’est vrai. Une grande romantique. Cela me joue-t-il des tours ? Je ne sais pas. Et ce n’est pas un souci pour moi.

Je t’aime, c’est tout. C’est aussi simple que ça.

Déclaration d’amour ? Heeuuuu, oui. Est-ce mon esprit qui a écrit tout ça ? Non, sauf pour la mise en forme et les fautes d’orthographes. Quand mes sentiments prennent le dessus, mon esprit se met en « veilleuse ».

Voilà, mon amour chéri… Mon plus grand souci, c’est de ne pas t’importuner. Je te déclare mes sentiments. Tu les acceptes ou non. Je sais que, quelle que soit ta réaction, elle sera empreinte de douceur et de tact.

Ta tit'Jojo qui t'aime.

Pauvre humain !
Je suis la mort
et j'en suis fier.
Je ressens un plaisir fou
à détruire tout ce qui m'entoure
toi,
tu es conscient de cela
mais tu me consommes quand même
je ris de toi
et tu ne t'en rends pas compte
imbécile humain
continue de m'absorber
et tu verras
j'ai le pouvoir du mal:
avec moi dans le corps,
tu te sens bien, détendu,
ce n'est qu'une diversion
car durant ta relaxation
je m'amuse à dévorer ton cerveau
ta raison dégringole
tel un château de carte
tué par le vent
et toi,
idiot que tu es,
tu en demandes davantage
je peux continuer
ma lutte sanguinaire
contre ta santé
c'est formidable:
partout où je passe
sans même tenter de me cacher,
je sème la tempête,
ces humains, pauvres d'esprit
continuent de m'avaler
je dis merci
à cette race si bête
qui me tient si bien en vie.